EMPLOI
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Nous avons tous plusieurs cordes à nos arcs,
nous devons continuer à nous former tout au long de nos vies.
Le cadre légal de l'emploi doit nous aider à nous réinventer, nous transformer, nous former.
L'avenir de l'emploi s'écrira avec des salariés compétents dans plusieurs domaines et qui pourront exercer plusieurs activités dans plusieurs secteurs en même temps ou à différentes périodes de nos vies.
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R. AMÉNAGEMENT DE LA PÉRIODE DE CHÔMAGE, LA FORMATION AVANT TOUT !
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La période de chômage doit être mise à contribution pour bénéficier d'une formation dans un domaine innovant ou à forte demande.
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R.1) si le chômeur ne suit pas de formation 6 mois après le début de sa période de chômage alors l'allocation chômage devrait être réduite de 20%
R.2) si le chômeur ne suit toujours pas de formation about d'un an, alors il devrait effectuer un service écologique cf L.1) à mi-temps quel que soit son âge
R.3) les frais d'université et de formation doivent être réduits pour les chômeurs et gratuits pour les chômeurs dans les secteurs à forte demande
R.4) donner la possibilité aux plus de 65 ans de continuer à travailler à temps partiel en binôme avec un jeune de moins de 25 ans pour permettre le transfert de compétences et un complément de revenus pour les retraités
R.5) il est urgent de faciliter la possibilité aux diplômés qui ont eu leurs diplômes à l'étranger de pouvoir valider leurs formations et leurs acquis à moindre coût dans tous les domaines: médical, sportif, éducation, bâtiment, agriculture etc. en proposant des formations diplômantes accélérées et évolutives dont le paiement doit être adapté et échelonné pour permettre à ces travailleurs de passer les examens validant leurs formations tout en travaillant. La France est un pays protectionniste sur ce point, cela doit changer.
R.6) Le Fongecif doit être élargi, facilité, enrichi. La perte de salaire pour les revenus modestes peut être momentanément compensée par une aide à la formation, par un complément de salaire.
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R.7) € les sociétés faisant preuve d'exemplarité et d'innovation au niveau écologique (neutres au niveau des émissions carbone et titulaires du Label B Corp), doivent pouvoir bénéficier de réductions fiscales importantes: Impôts sur les sociétés limités à 20%, cotisations sociales réduites de moitié et crédits de formation dans des organismes reconnus par l’État.
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S. LE PASSAGE PUBLIC / PRIVÉ DOIT ÊTRE FACILITÉ
Le passage entre le secteur public et privé doit être facilité. En France, 4,5 millions de personnes (16% des actifs) cumulent plusieurs métiers, il faut proposer des cadres légaux et clairs à ces travailleurs sans que cela nuise à leurs cotisations, leurs retraites, leurs formations continues.
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S.1) les travailleurs du secteur public devraient avoir des objectifs stimulants, avec à la clé des primes motivantes, des promotions, des formations diplômantes financées
S.2) il faut autoriser les salariés travaillant dans le public à demander une pause de 1 an, 2 ans ou 5 ans pour se lancer dans une aventure professionnelle dans le privé ou en créant sa propre entreprise tout en conservant au bout de la période de pause, la possibilité de réintégrer leur service public d'origine. Il faudra contrôler qu'il n'y ait pas de collusion entre leur activité dans le public et leur activité dans le privé, les secteurs d'activité doivent être suffisamment décorrélés. Une sorte de contrat de projet inversé
S.3) les salariés du privé doivent pouvoir bénéficier d'horaires aménagés pour suivre une formation diplômante pour intégrer le secteur public: médical, éducation, sportif etc. à temps partiel ou à temps plein. Le cadre légal doit être adapté pour permettre aux salariés du privé de travailler à 3/5 ou 2/5 dans le privé et son complémentaire dans le public.
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S.4) € La formation de certains employés à la gestion d'une entreprise unipersonnelle 'auto-entrepreneur, EURL, SASU etc.) doit être financée par l'entreprise privée qui bénéficie d'aide de la part de l’État ou qui bénéficie de contrats avec les collectivités locales ou l’État
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T. CRÉATION ET FERMETURE D'UNE ENTREPRISE, STOP A L'UBERISATION DES TRAVAILLEURS
T.1) Lorsque l’État ou les collectivités locales viennent en aide à une entreprise, et si cette entreprise privée doit fermer, il faut inscrire dans la Loi la possibilité d'accorder aux salariés le droit de reprise et de préemption, pour la transformer en coopérative si aucun repreneur ne se manifeste dans les 3 mois qui suivent la fermeture. Cela implique de mettre des conditions à l'octroi d'aides de l’État ou les collectivités locales pour que dans le cas de fermeture/cessation d'activité, les locaux, les machines et les moyens de transport de l'entreprise soient mis à disposition de la coopérative
T.2) il faut rendre obligatoire pour les entreprises forçant leurs employés/partenaires à devenir travailleurs indépendants, la cotisation d'une partie (50%) des charges sociales à la charge de l'employeur si un minimum de 40 heures travaillées par mois est effectué par le travailleur indépendant.
T.3) il faut rendre transparent la gestion sociale de ces entreprises forçant leurs employés/partenaires à devenir travailleurs indépendants sur une plateforme dédiée sur impots.gouv.fr puis contrôler en continu les comptes et la gestion de ses sociétés
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T.4) Lors de la création d'une entreprise de moins de 10 personnes dans un domaine innovant ou à forte demande, il faudrait l'exonérer des charges sociales (URSSAF) la première année jusqu'à une limite de 50 000 €
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"When writing the story of your life, don't let anyone else hold the pen"
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